Vidéo Trail des Poilus 2016

La vidéo officielle du Trail des Poilus 2016

Retour en image sur une épreuve singulière qui, entre boue, tranchées et collines nous aura emmené jusqu’au bout de nos forces !

Heureusement qu’il n’a lieu que tous les deux ans… ça laisse un peu de temps pour s’en remettre avant de recommencer !!

La vidéo des Poilus 2016

 

Le site du trail des Poilus :

infos, résultats, photos : https://www.letraildespoilus.fr/


Autres articles recommandés pour vous :

Cet article vous a plu ? Faites le connaître : Partagez-le !


Vous pouvez aussi lui attribuer une note... !

1 étoiles2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles6 étoiles7 étoiles8 étoiles9 étoiles10 étoiles (No Ratings Yet)
Loading...

Soyez les premiers informés de nos prochains articles :


Simulation Ultra des Coursières

Votre roadbook pour l’Ultra des Coursières – 07 mai 2016 

Saint-Martin en Haut – 05h00

15ème édition cette année du Trail des Coursières dans les Monts du Lyonnais, avec comme point d’orgue de la manifestation l’Ultra de 103km… et environ 4000m de D+ !

Comme quoi il est possible de vous offrir un très beau dénivelé dans le Lyonnais, point besoin pour se faire d’aller en haute montagne ! Le programme se veut donc copieux, et bien que les pentes ne soient globalement pas très raides, les cuissots vont être mis à rude épreuve !

Cependant rassurez-vous, vous aurez tout loisir d’admirer les vues magnifiques qui vous sont offertes depuis les sommets des Monts du Lyonnais !

A tous ceux qui auront la chance de participer à cette belle course, je vous souhaite d’y prendre un maximum de plaisir !

Informations sur la course :

Pour plus d’informations sur l’événement et les différentes courses, rendez-vous sur le site de la course :

https://www.coursieresdeshautsdulyonnais.org/

simulateur-trail

Votre feuille de route pour l’Ultra des Coursières 2016

Complétez les champs suivants :

Allure de base (min:sec/km) Min. Sec.
Correction d’allure
Bonus allure initial (min:sec/km) Min. Sec.
Perte allure finale (min:sec/km) Min. Sec.
Apréhension du dénivelé
Aptitude de grimpeur

compris entre : 0.85 (très bon) / 1 (standard) / 1.15 (très mauvais)

Aptitude de descendeur

compris entre : 0.85 (très bon) / 1 (standard) / 1.15 (très mauvais)



Le parcours en détails

Pour des raisons de traversées multiples de domaines privés je ne pourrais vous divulguer le parcours en détail, cependant les organisateurs ont eue la gentillesse de me fournir les données nécessaires à la réalisation de ma simulation de calcul qui est donc bien réalisée sur la base du parcours 2016.

coursieres2016_102km

Comment utiliser le simulateur trail ?

Toutes les informations utiles pour compléter le tableau et obtenir votre feuille de route sont ici :

Guide utilisateur du simulateur trail

calculateur d’allure

Calcul VMA, Indice d’Endurance 

Liste des autres parcours disponibles

 

Des questions, suggérer un nouveau parcours ?

N’hésitez pas à me faire part de vos interrogations, remarques et à me contacter pour la mise en ligne de nouveau parcours.


Cet article vous a plu ? Faites le connaître : Partagez-le !


Vous pouvez aussi lui attribuer une note... !

1 étoiles2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles6 étoiles7 étoiles8 étoiles9 étoiles10 étoiles (1 votes, average: 10,00 out of 10)
Loading...

Soyez les premiers informés de nos prochains articles :


Autres articles recommandés pour vous :

Simulation calcul Ultra du Pas du Diable

Calcul roadbook Ultra du Pas du Diable – 23 avril 2016

9ème édition du Trail du Roc de la Lune dans le cadre duquel se déroulera l’Ultra du Pas du Diable. Un ultra exigeant avec pour terrain de jeux les Grands Causses !

Avec plus de 6000m de D+ pour 120km de course, il va falloir être costaud pour venir à bout de cette épreuve ! Pour vous aider à gérer au mieux cette épreuve difficile voici ma simulation de calcul :

simulateur-trail

Votre feuille de route pour l’Ultra du Pas du Diable 2016

Complétez les champs suivants :

Allure de base (min:sec/km) Min. Sec.
Correction d’allure
Bonus allure initial (min:sec/km) Min. Sec.
Perte allure finale (min:sec/km) Min. Sec.
Apréhension du dénivelé
Aptitude de grimpeur

compris entre : 0.85 (très bon) / 1 (standard) / 1.15 (très mauvais)

Aptitude de descendeur

compris entre : 0.85 (très bon) / 1 (standard) / 1.15 (très mauvais)



Le parcours en détails

Comment utiliser le simulateur trail ?

Toutes les informations utiles pour compléter le tableau et obtenir votre feuille de route sont ici :

Guide utilisateur du simulateur trail

calculateur d’allure

Calcul VMA, Indice d’Endurance 

Liste des autres parcours disponibles

 

Des questions, suggérer un nouveau parcours ?

N’hésitez pas à me faire part de vos interrogations, remarques et à me contacter pour la mise en ligne de nouveau parcours.


Cet article vous a plu ? Faites le connaître : Partagez-le !


Vous pouvez aussi lui attribuer une note... !

1 étoiles2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles6 étoiles7 étoiles8 étoiles9 étoiles10 étoiles (No Ratings Yet)
Loading...

Soyez les premiers informés de nos prochains articles :


Autres articles recommandés pour vous :

plan d’entrainement, coach,… est-ce bien nécessaire ?

Pour progresser : faut-il suivre un plan d’entrainement à la lettre ?

En vue d’un objectif majeur, la plupart des runners studieux se basent sur un plan d’entrainement pour se préparer au mieux et être au meilleur de leur forme le jour J. Les plus motivés s’adresseront à un coach pour établir ce plan et les suivre au quotidien dans leur progression.

Ma foi, rien de plus normal et légitime, car une bonne préparation est primordiale et une étape nécessaire dans la réussite d’un objectif. En plus de vous éviter des erreurs qui pourraient être préjudiciables le plan d’entrainement vous apporte une réelle motivation dans les mois ou semaines précédent le jour J. Véritable fil conducteur de la préparation, le plan est votre guide.

plan-entrainement

Oui, mais jusqu’ à quel point ? Est-ce grave si je rate une séance du plan ?

Beaucoup de gens studieux s’évertuent à coller au plus près de leur plan d’entrainement, on ne peux que les en féliciter ! Cependant, les aléas de la forme, du quotidien font qu’inévitablement un jour ou l’autre vous ne serez pas en mesure de faire LA séance du jour !

coaching-4

Faut-il alors culpabiliser ?

Bien sûr que non ! Ce n’est pas parcequ’il vous manquera une séance sur un plan de plusieurs semaines que la réalisation de votre objectif sera compromise ! Il faut à tout prix dédramatiser, ne pas culpabiliser et se concentrer sur les séances suivantes.

Voyez les choses du bon côté : parfois une petite pause imprévue est l’occasion de souffler un peu, de reprendre des forces pour affronter plus sereinement la suite du programme.

coaching-2

Doit-on décaler cette séance au lendemain ou simplement poursuivre le plan ?

La réponse à cette question est plus délicate. Certaines séances peuvent facilement être supprimées sans aucune conséquence. D’autres en revanche sont plus importantes et devraient, en cas d’imprévu, être reprogrammées… mais pas nécessairement le lendemain, au risque de nuire à la suite du programme !

Seul votre coach sera en mesure de vous guider et de vous indiquer la marche à suivre entre annulation, reprogrammation, mise à jour du plan…

Si vous n’avez pas de Coach, et que vous suivez un plan « tout fait » ?

Cette situation n’est pas idéale, mais représente néanmoins le cas d’une grande majorité de coureurs.

Dans ce cas là, la moins mauvaise des solutions consiste encore à purement et simplement annuler la séance en question et poursuivre le plan comme si de rien n’était. En effet, une séance mal repositionnée pourrait être plus préjudiciable à la suite du plan que pas de séance du tout !

coaching

Que faire si vous n’arrivez pas à suivre le programme ?

Plan trop chargé, trop ambitieux par rapport à vos capacités réelles, ou tout simplement petite baisse de forme passagère… autant de raisons qui peuvent vous empêcher de suivre à la lettre votre programme.

Là encore, les conseils de votre coach sont déterminants, il saura adapter la charge de travail à votre forme du moment, adapter le plan à vos capacités. Son expertise est indispensable pour vous amener vers un objectif réalisable.

Si vous êtes seul, vous devrez mener cette analyse vous même, au risque de vous planter. Mais dans tous les cas, si vous ne tenez pas le rythme, révisez vos ambitions, car le sur-entrainement arrive vite et serait compromettant pour vos objectifs.

Le plan d’entrainement : Une ligne directrice, pas une contrainte ?

Entre les studieux qui ne sortent jamais des clous et les babas kool qui ne regardent leur plan qu’une fois par mois, il y a un juste milieu.

Tout ne se doit pas d’être forcément suivi strictement à la lettre, le plan sert de base, après il est toujours possible en fonction de sa forme physique, de son envie et des nombreux aléas du quotidien de moduler certaines séances sans que cela ne soit réellement préjudiciable au résultat d’ensemble.

Bien sûr, une nouvelle fois, lorsque cela est possible, mieux vaut le faire en concertation avec son coach, qui s’il est au courant de vos contraintes et de votre forme vous aidera à prendre les bonnes décisions.

entrainement-01

Suffit-il de suivre un plan « Marathon 3h »… pour faire un marathon en moins de 3h ?

La réponse est bien évidemment, et malheureusement, négative ! Le plan d’entrainement que l’on choisit de suivre doit, avant d’être basé sur son ambition personnelle, être en adéquation avec ses capacités actuelles.

Un coureur expérimenté sera capable de choisir par lui-même le plan qui se rapproche le plus de son potentiel, mais un novice aura indéniablement besoin de conseils pour s’orienter vers le plan adéquat.

Comment faire en l’absence de coach ?

Sur internet et dans la presse, les plans de préparation gratuits foisonnent de toute part ! Mais comment trouver le bon ? Celui qui correspondra d’une part à vos attentes et d’autre part à vos capacités ?

A vrai dire, rien d’évident là dedans. Le seul conseil que l’on peut donner est de ne pas viser trop haut que cela soit en terme d’objectif ou de volume d’entrainement : ne cherchez pas, d’un coup, à vous entraîner 2 fois plus que d’habitude. Ne cherchez pas non plus à battre votre record de 30′ d’un coup ! Bref, soyez humble, patient, et raisonnable.. et vous mettrez toutes les chances de votre côté.

coaching-3

En résumé : un plan c’est bien, un coach c’est encore mieux !

Chacun est bien sûr libre de pratiquer sa passion comme il le souhaite, c’est la base même de notre sport.

Cependant, celui qui souhaite progresser et s’améliorer a tout intérêt à suivre un plan d’entrainement structuré et adapté à son niveau, ses disponibilités, sa motivation…

A défaut de pouvoir s’offrir les services d’un coach c’est déjà une démarche positive de s’astreindre au suivi d’un plan « générique » qui permettra de faire pas mal de progrès.

Malgré tout, celui qui souhaitera réellement atteindre son meilleur potentiel devra, à un moment où un autre faire appel à un Coach qui pourra personnaliser son entraînement et réellement tenir compte de toutes ses contraintes physiques et personnelles.


Autres articles recommandés pour vous :

Cet article vous a plu ? Faites le connaître : Partagez-le !


Vous pouvez aussi lui attribuer une note... !

1 étoiles2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles6 étoiles7 étoiles8 étoiles9 étoiles10 étoiles (2 votes, average: 9,00 out of 10)
Loading...

Soyez les premiers informés de nos prochains articles :


Test tee-shirt running WAA Ultra Carrier

Test du tee-Shirt WAA Ultra Carrier

test réalisé par Elric

Salut les amis, et si on parlait chiffon!!! j’ai assisté au défilé WAA à la fashion week et depuis je m’habille tous les jours avec… plus sérieusement vous aviez déjà eu connaissance de mon coup de coeur pour l’ultra rain jacket de WAA, et donc là c’est tout naturellement que je vais vous parler de l’ultra career shirt.
WAA n’est pas encore une marque portée par tous mais je suis certain, que très rapidement on va en voir de plus en plus dans les pelotons tant la qualité de recherche et d’innovation de la marque est importante.

Tee-shirt running WAA : présentation

WAA quel bonheur!!! c’est bon il commence avec ce blagues à deux balles..
Comme à l’habitude, vous le savez, je cours le plus léger possible et c’est cela qui m’a intéressé lors de mes premiers échanges avec la marque.
Quoi de plus logique que de tester ce fameux haut « couteau suisse » qui fait tant jaser dans le monde du trail. Chose promise chose due, pour réaliser un test parfait il fallait un petit run avec Mac Gyver ou Emmanuel de tous ensemble, mais ils n’étaient pas dispo, alors je me suis contenté d’une dizaine de sorties dans nos Alpes, et vous comprendrez vite à quel point ce tee-shirt peut être ultra-utile !!

Ultra carrier shirt WAA : une première vidéo

Ultra carrier shirt WAA : comment se porte-t-il ?

Cet tee-shirt running Ultra Carrier de WAA se porte près du corps, donc vous serez dans l’obligation d’être des plus sexy avec lui !…

Heureusement que ce n’est pas le cas, car tout le monde sait que le trailer mange et boit autant qu’il court donc c’est bon vous êtes sauvé, et moi aussi, on pourra le porter sans se sentir ridicule. Toutefois et c’est mon seul petit bémol, attention à votre taille, vérifiez bien face au tableau comparatif, car il est très très prêt du corps.

Ultra carrier shirt WAA : Zip ou caleçon?

Il est doté d’un Zip intégral ce qui peut surprendre au départ car on va imaginer qu’une petite irritation peut se produire en conditions de course et de forte chaleur. Toutefois c’est dans ce cadre que ce zip vous apporte un sérieux avantage. En effet, au lieu de supporter le tee shirt et de ne rien pouvoir faire, vous pouvez à contrario l’ouvrir un peu pour apporter le flux d’air nécessaire. Sincèrement le zip ne m’a pas dérangé lors de mes sorties je l’ai essayé avec et sans rien en dessous.

test-ultra-carrier

Ultra carrier shirt WAA : il va vous rendre plus intelligent?

On m’a dit que le tissus est intelligent… Pourvu qu’il déteigne celui là me direz vous!! La composition de ce haut de super héro est impressionnante :

Polyester 95% / Spandex 5% avant et arrière –  Nylon 92% / Spandex 8% sur les côtés. Ce haut est ultra-respirant, un véritable confort supplémentaire pour vous. Lors d’un trail de moyenne à longue distance, vous allez apprécier sa respirabilité, et sa douceur. Sincèrement j’ai plusieurs fois eu l’impression de courir quasi torse-nu.

Alors pourquoi est il intelligent? Pourquoi ? Et bien tout simplement parce qu’il est composé de telle manière, qu’il ne retiendra pas votre transpiration, il ne s’alourdit donc pas en se gorgeant de sueur. Intelligent aussi grâce à ses poches multiples qui vous apporteront là aussi un confort.

J’ai mis des flasques, des barres et mon téléphone et rien ne bouge. C’est ultra-agréable et super pratique.

ultra-carrier-shirt

Ultra carrier shirt WAA : intelligent et beau-gosse?

Bon maintenant que l’on est intelligent, autant devenir beau…

Dans ce but, L’ultra Carrier Shirt existe en plusieurs coloris et deux longueurs de manches.
La marque me l’a proposé en gris avec les manches courtes. mais je vous laisse apprécier les autres couleurs. Ce qui était un frein sur la première version, car vous n’aviez le choix qu’entre le gris que j’ai testé et le jaune (le fameux jaune WAA). Maintenant WAA a fait les efforts pour vous proposer un plus large panel de coloris.

ultra-carrier-shirt-manches-courtes (2)

Ultra carrier shirt WAA : d’autres avntages?

Les traditionnels motifs réfléchissants sont présents et vous mettront en valeur la nuit tombée, montrant votre foulée magesteuse sur les bords de route de notre belle France. Bon ok je me calme, ça va!! Le petit plus de ces motifs sont qu’ils réfléchissent encore même en cas de luminosité réduite.

Encore un plus, ce sera la ventilation supplémentaire au niveau des aisselles. Ok, c’est un avantage pour vous mais pas pour les gens autour, mais bon au fond le running est un peu un truc egoïste…

Vous trouvez aussi une bande adhésive sur le bas du tee-shirt, améliorant le maintien dans le bas du dos et évitant les mouvements qui on l’imagine bien peuvent être désagréables. Cette bande remplit tout à fait sa mission.

Ultra carrier shirt WAA :  interdit par la fédé ?

Il existe effectivement un passage mp3 prévu sur poche avant gauche de l’ultra carier shirt. La fédé venant officiellement d’interdire l’utilisation de la musique en course, l’ultra carier shirt est sincèrement en danger… !!!

Ultra carrier shirt WAA : des chiffres?

  • Le poids de 169 grammes est plus qu’honorable tant il a fallu créer une matière aussi résistante que confortable.
  • 2 poches avant (téléphone, MP3, barres énergétiques, gels, etc…)
  • 2 poches arrière avec fermeture scratch (bidons 750ml, un coupe-vent, bonnet, gants, etc…)
  • 4 coloris : Gris / Jaune / Bleu / Rouge
  • 2 sortes : Manches courtes et manches longues (suppléments de 4€, moins cher qu’un kebab!!!!)

Ultra carrier shirt WAA : Pourquoi toi plus qu’un autre mon mignon?

Disons que vous êtes face quand même à un haut qui remplace votre sac à dos ! Et bien non, je ne délire pas après avoir ingéré un WAA bonbon, au regard de ses poches et de ses rangements sur des sorties jusqu’à 40/50 kilomètres vous n’avez pas besoin de votre sac. En tout cas pour ma part ce fût le cas sur une sortie de 52 km, la traditionnelle sortie longue du dimanche.

Vous pourrez ainsi transporter aisément tout votre matériel obligatoire : alimentation, hydratation, veste coupe-vent,… à moins bien sûr que vous préfériez remplacer ces objets par d’autres. En haute Savoie on arrive à rentrer un reblochon, une 1/2 tomme, un appareil a raclette et une écharpe de l’Evian-Thonon-Gaillard (ex club de foot). Bref, vous l’avez compris vous faites ce que vous voulez.

Le guide des tailles Ultra carrier shirt WAA

Pour être certain de faire le bon choix et ne pas vous tromper, vous devez vous référer à ce tableau si vous êtes conquis par ce tee-shirt running :

guidetaille

Ultra carrier shirt WAA : même si on s’en fou un peu : voici mon avis?

L’ultra Carrier est particulièrement bien pensé, les poches avant comme arrières sont intelligentes et super pratiques. Ce tee-shirt vous accompagnera naturellement vers les gestes les plus simples, à l’avant, la nourriture à l’arrière l’eau !! tout est bien pensé et c’est ultra-important car en compétition on a moins le temps de réfléchir et de s’adapter.
La matière utilisée est vraiment très agréable et se fera très vite oublier ce qui est loin d’être le cas de la plupart des produits proposés par les autres marques. Il vous permet d’emmener de nombreuses choses avec vous sans avoir les va-et-vient ainsi que les frottements de votre sac, qui sont pour ma part vraiment difficile à supporter sur le long. Aussi, je me suis senti très à l’aise dans ce tee shirt et super confort au fil des kilomètres.

Il se porte près du corps et cet aspect est très utile quand on voit tout ce qu’il trimbale, ça évite aussi les mouvement du portage. Toutefois attention à bien choisir votre taille car cela peut vite devenir embêtant s’il est trop grand.

La marque revendique 5 heures d’autonomie via ce tee-shirt, je pense que vous pouvez aller un peu plus loin, avec, cependant sachez que vous pouvez aussi le compléter avec le sac 3L de chez WAA qui bien entendu est ultra-adapté à ce tee-shirt : le test est à venir sur www.my-trail.fr La marque a bien fait les choses car vous trouvez un pack disponible avec ce tee shirt et le sac 3L.

Votre femme sera ravie de voir votre corps d’Apollon moulé dans cette super matière, c’est votre vieux sac d’hydratation qui va prendre la poussière, car une fois testé, je suis convaincu qu’il restera au placard de plus en plus souvent. Pour le côté Apollon espérons que WAA sorte un slip sexy dans les prochains mois..

test-ultra-carrier-2

Ultra carrier shirt WAA : les notes…

  • Look : 4/5
  • Légèreté : 5/5
  • Confort : 5/5
  • Entraînement : 5/5
  • Compétition : 5/5
  • Technicité : 4/5
  • Innovation : 4/5

Autres articles recommandés pour vous :

Cet article vous a plu ? Faites le connaître : Partagez-le !


Vous pouvez aussi lui attribuer une note... !

1 étoiles2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles6 étoiles7 étoiles8 étoiles9 étoiles10 étoiles (1 votes, average: 10,00 out of 10)
Loading...

Soyez les premiers informés de nos prochains articles :


Marathon de Paris 2016 : Et un record de plus…

Marathon de Paris 2016

dimanche 03 avril 2016 – 08h45 – Champs Elysées

Cette année, le marathon de Paris fêtait sa 40ème édition et moi ma 16ème participation consécutive depuis 2001, date de mon tout premier marathon.

Depuis cette date je n’ai manqué aucune édition et suis toujours parvenu à rejoindre l’arrivée avenue Foch et ce quelques soit les conditions : sans aucune préparation pour les premières fois, malade parfois, une fois avec une main cassée tout juste une semaine avant la course. Bref depuis 16 ans je suis présent au départ et à l’arrivée.

Et même si je suis en désaccord total avec la politique d’ASO qui nous prend vraiment pour des cons, j’y serais une nouvelle fois en 2017 ! A vrai dire je ne sais pas vraiment pourquoi, mais c’est devenu tellement une habitude, une sorte de rituel auquel je participe sans vraiment y réfléchir. Mon unique marathon de l’année et l’une de mes très rares apparitions sur route, en dehors de mes terrains de jeu habituels.

marathon-paris-16

Un record de plus…

Cette année je courais donc mon 18ème marathon (je n’en ai fait que deux autres hors Paris), mon 4ème consécutif en dessous de la barre mythique des 3h… que j’aurais mis 13 ans à vaincre !

Après mes 2 records (10k et semi) battus lors du Semi de Paris il y a tout juste un mois, j’ai récidivé en améliorant une fois de plus ma meilleure marque sur marathon !

L’ambiance

Après tous les événements tragiques survenus en France l’an dernier et la récidive à Bruxelles il y a seulement quelques jours, l’ambiance au départ de ce marathon était forcément particulière. Nous avions tous une pensée pour les victimes de ces odieux attentats, et inconsciemment redoutions le pire en ce jour de fête du running.

Heureusement, aucun incident ne sera à déplorer, la sécurité renforcée mais sans être oppressante nous a permis de vivre cette aventure en toute sérénité.

Côté météo, les conditions semblaient elles aussi être plutôt favorables, certes quelques averses avaient rendu la chaussée glissante, mais c’est un grand ciel bleu qui s’est offert à nous au moment de rejoindre la ligne de départ. La température assez clémente et agréable de ce début de matinée allait cependant grimper rapidement au fil des heures pour venir pimenter l’affaire.

Mon marathon de Paris 2016

A 8h45 le départ de ce 40ème marathon de Paris est donné, positionné juste derrière l’élite c’est très rapidement que je peux m’élancer pour cette nouvelle aventure ! Je m’applique à prendre un départ tranquille pour ne pas me griller dès les premiers mètres, mais rapidement, emporté par la foule, l’ambiance et l’euphorie je me retrouve dans le bon rythme.

Il y a énormément de monde sur le bord de la route, j’ai l’impression qu’il y en a plus que d’habitude, c’est très stimulant et motivant de voir une telle foule qui vous acclame et vous encourage dans votre effort.

crédit photo WonderTrail
crédit photo WonderTrail

Une balade de santé

La première partie de ce marathon se déroule à merveille, je ne suis pas du tout dans le rouge et les jambes répondent très bien puisque j’affiche, sans forcer, un rythme moyen de 3’55” au km. Tout juste je relâche un peu dans les rares parties montantes.

Pour une fois mon début de marathon est idéal, aucune souffrance, aucune douleur et en facilité, c’est presque trop beau pour être vrai. Je me dis alors que je suis peut-être dans un grand jour ! Je passe au 5ème km en 19’40” !!

Cependant je ne m’enflamme pas pour autant, c’est avec une grande sagesse que j’aborde la première grosse côte du parcours au niveau du km 6,5. Je grimpe à mon rythme, tranquille y laisse quelques secondes, mais cela n’a vraiment pas d’importance. La stratégie étant de me ménager au maximum sur le premier 10k !

Le temps perdu dans la montée est repris dans la descente vers la porte Dorée, donc il n’y a vraiment aucune raison de s’en faire. Il faut simplement poursuivre, ne pas laisser trop de plumes dans le bois de Vincennes. C’est après que nous devrons reprendre du temps !

Le passage au 10ème km se fait en 39’48” c’est plus rapide que ce que j’avais prévu, mais n’ayant vraiment pas forcé en ce début de course, je ne m’en inquiète pas plus que cela.

Les premières inquiétudes

Si l’entrée en matière pourrait être de nature à me mettre en confiance, mon passage dans le bois de Vincennes lui, commencera à me faire légèrement douter. Entre le 10ème et le 15ème km le parcours nous offre une succession de longs et très légers faux-plats qui sans poser de réels problèmes sont de nature à réduire un peu la cadence.

Sur les parties montantes, mon allure se maintient correctement, je ne laisse filer que quelques petites secondes par rapport au tableau de marche. En revanche, mes performances dans les parties descendantes m’inquiètent un peu plus : là où je pensais pouvoir grappiller quelques secondes, je ne reprends strictement rien, je ne suis même pas plus vite que dans les faux-plats montants !

Sans réellement m’alarmer je me dis que cela sera peut-être plus compliqué que prévu. Je prends néanmoins mon mal en patience, essaie de m’accrocher à quelques coureurs légèrement plus rapide que moi pour me tirer dans la montée, un peu plus soutenue, qui se présente au niveau de l’hippodrome. Entre le 15ème et le 16ème km je laisserai une bonne petite poignée de secondes… qu’il faudra ensuite aller chercher !

Le Money-Time

Me fiant aux données de ma course de l’an dernier, je sais que la partie qui devrait m’être le plus favorable se situe entre le 16ème et le 26ème km. La descente qui suit la montée de l’hippodrome devant servir de tremplin pour augmenter l’allure, rattraper les secondes perdues et engranger un peu d’avance.

Si je parviens à boucler le 17ème km en 3’49” ce n’est pas sans efforts, et je suis loin des 3’41” de l’an dernier. Les km suivants me donnent raison, alors que j’avais pris pas mal d’avance l’an dernier, je parviens péniblement à me maintenir tout juste en dessous des 4′ au km.

Le retour dans Paris me donnera un petit peu d’air, juste ce qu’il faut pour boucler le premier semi en 1h24’17″… soit tout juste à 15 km/h de moyenne.

Un départ peut-être un peu rapide

Même si je le l’ai pas ressenti dans les 10 premiers km, même si j’ai dû forcer un peu dans les 10 suivants, mon premier semi était peut-être un tout petit peu trop rapide : a seulement 1’40” de mon record perso, ce chrono représente quand même ma 4ème meilleure perf sur semi !

Sans doute un peu gourmande la bête ! Ce raisonnement est bien évidemment facile à tenir à posteriori car, dans le feu de l’action il est difficile de bien ajuster son effort. Ceci d’autant plus que, j’en suis persuadé, mon record ne reflète pas totalement mon potentiel réel.

Alors pourquoi ne pas tenter et voir si ça passe ?

L’inévitable déclin

Je parviens à maintenir l’illusion que tout est encore possible jusqu’à ce fameux 26ème km  et son célèbre tunnel. Certes je ne redescendrai plus jamais en dessous des 4′ au kilo mais je n’en suis pas encore trop loin.

La chaleur qui discrètement commence à se faire sentir, et surtout l’enchaînement des sorties de tunnels qui jalonnent notre parcours le long des quais mettrons bien à mal le rythme de la bête. Désormais l’allure est plus proche des 14-14,5 km/h. Je commence à me faire rattraper par pas mal de coureurs et nous n’en sommes pas encore au 30ème km !

Au 30ème justement je passe en 2h00’48” environ. Le retard n’est pas encore trop important, mais la course commence véritablement maintenant. C’est là qu’il ne faut rien lâcher !

Le temps commence à me paraître bien long, et les kilomètres ne défilent plus aussi vite et aussi facilement qu’en début de course. Je dois luter pour ne pas perdre de temps dans les parties en faux-plat montant, et je ne peux plus vraiment compter sur une quelconque relance en descente… où je parviens tout juste à me maintenir !

mdp-16-03

Roland Garros…

Habituellement j’ai coutume de dire que le marathon commence réellement au 34ème km… juste après le virage en épingle du stade de Roland Garros. Jusque là, c’est un footing d’échauffement de 34 km qui précède une course de 8km, aussi courte que difficile !

Malgré ma perte de vitesse conséquente depuis quelques kilomètres, les sensations ne sont finalement pas si mauvaises que cela, certes je n’ai plus beaucoup d’essence à envoyer dans le moteur, mais les jambes ne souffrent pas trop. Bon d’accord, je peine maintenant à dépasser les 14 km/h de moyenne.

Mais à ma grande surprise, je constate que de très nombreux coureurs ne sont pas mieux que moi, voir sont carrément moins bien ! Plus j’avance et plus je dépasse de concurrents, au bord de l’agonie pour certains ! Cela me remonte un peu le moral et me motive pour tenter de relancer, du moins de ne pas sombrer d’avantage !

Une brève embellie

Ma motivation qui en avait pris un petit coup reprend le dessus, et si les kilomètres ne défilent pas vraiment plus vite, au moins pour une fois, je prends du plaisir à traverser le bois de Boulogne, ma souffrance est reléguée au second plan et je poursuis ainsi ma remontée dans le classement.

Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas connu une fin de marathon aussi agréable. Enfin au moins du côté des sensations, car côté chrono, ça ne s’arrange pas vraiment ! Je le constaterai plus tard, mais je suis encore moins rapide que l’an dernier sur ce second semi !

Une fin laborieuse

Le profil est maintenant plus favorable et globalement descendant, ce qui me permet de limiter la casse ! Mais au 41ème cela remonte un peu et à ce stade de la course, c’est vraiment compliqué. J’ai beau essayer de me faire violence, mais je n’en peux plus ! Les forces m’abandonnent et j’ai l’impression d’être au ralenti !

Le 42ème et dernier km est quasiment plat, mais c’est compliqué de repartir après être resté scotché dans la dernière petite butte ! La foule est de plus en plus présente, je tente de me remotiver, non pour vraiment gagner du temps, mais pour éviter d’en perdre d’avantage !

Je devrais pouvoir rentrer en moins de 2h53’… mais mon calcul est approximatif et mon cerveau tourne au ralenti !

La dernière ligne droite

J’aborde le rond point qui précède l’avenue Foch, il y a vraiment beaucoup de monde, il y a plus d’ambiance que d’habitude, c’est un moment assez incroyable. On se sent comme porté par les gens qui vous encouragent.

Comme souvent, je ne peux résister à accélérer dans cette dernière ligne droite, l’arrivée est à peine à 200m. Je savoure cet instant tout en jetant mes dernières forces dans la bataille !

Un concurrent se porte à ma hauteur et me dépasse, mais c’est devenu un réflexe, plutôt que de me contenter de rester sur mon rythme, je ne résiste pas à cette pulsion qui me pousse à lancer, une nouvelle fois un sprint de ouf !

Je relance donc une toute dernière fois, reprend les devant et franchi la ligne d’arrivée après un dernier 200 bouclé en à peine 40″ (soit un bon 18km/h) !

mdp-arrivee-16
Crédit Photo Giaorunning

Record battu !

Même si mon deuxième semi ne restera pas dans les mémoires comme un modèle de réussite, même si chronométriquement j’y aurai laissé pas mal de plumes, il n’aura pas été aussi difficile psychologiquement que certains autres !

En franchissant la ligne d’arrivée en 2h52’54” je bats une nouvelle fois mon record sur marathon que j’améliore d’1’26”. Je termine 415ème au scratch, ce qui représente mon meilleur classement sur marathon. L’objectif de rentrer dans les 500 premiers est atteint !

Alors certes, j’aurais bien aimé descendre sous les 2h50… j’y ai même cru pendant toute la première partie de la course, mais la chaleur, et une préparation qui n’est pas forcément idéale ne m’auront pas permis de le faire cette année…. Rien de grave en cela, je retenterai ma chance l’année prochaine !

Tout au long du parcours vous avez été très nombreux à m’encourager, connus ou inconnus je vous en remercie tous. Jusqu’à présent je n’ai pas souvenir d’avoir rencontré une telle ambiance sur le marathon de Paris ! Egalement un grand merci à Mickael de Wondertrail et Philippe alias ThePinkRunner pour les photos !

Vivement l’année prochaine pour remettre ça !

arrivee-mdp
Crédit photo The Pink Runner

Et les Hoka dans tout ça ?

Comme je l’avais dit dans mon article :Le marathon de Paris en Hoka ? C’est possible ? j’ai couru ce marathon en Clifton 2.

Alors ma réponse ne peut qu’être positive, puisque je l’ai fait et bien fait avec ce nouveau record à la clé. Certes quelques petites ampoules sur les orteils, mais des tendons préservés qui finalement n’auront quasiment pas souffert de ces 42km de bitume couru au taquet !

Pour plus de détails sur ce test, n’hésitez pas à consulter mon article (lien ci-dessus).

resultat-marathon-paris-16

Tous les résultats du Marathon de Paris 2016

Résultats marathon de Paris 2016


Autres articles recommandés pour vous :

Cet article vous a plu ? Faites le connaître : Partagez-le !


Vous pouvez aussi lui attribuer une note... !

1 étoiles2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles6 étoiles7 étoiles8 étoiles9 étoiles10 étoiles (1 votes, average: 10,00 out of 10)
Loading...

Soyez les premiers informés de nos prochains articles :